Vénériennes (maladies)

(Syphilis, blennorragie, chancre mou, granulome, maladie de Nicolas et Favre, etc.)
Les manuels de médecine familïaïe sont d'une incroyable discrétion à ce sujet. Discrétion d'autant plus étonnante que -les maladies vénériennes sont en passe de devenir l'un des plus grands fléaux de notre époque, au même titre que ïe cancer et les maladies du cœur. On avait cru trouver l'arme absolue avec la pénicilline, l'auréomycine, et d'autres antibiotiques. Ce traitement, associé à des injections de bismuth, a guéri des milliers de malades. Mais, à l'heure actuelle, les microbes responsables de ces maladies (les fameux gonocoques) résistent de plus en plus aux antibiotiques cités plus haut. De toute façon, se faire examiner régulièrement par un médecin. Si le traitement classique ne donne aucun résultat, essayez :

1 ère recette Les oligo-éléments : cuivre, or, argent, ce trio se comportant à la façon d'un antibiotique. On sait depuis longtemps que les sels d'or ont une action antisyphilitique certaine. D'autre part, on place actuellement beaucoup d'espoirs dans le cuivre : on a constaté que ce métal avait des propriétés anti-infectieuses, en particulier contre le gonocoque (d'où son emploi pour les stérilets). Enfin, le mercure aurait un effet analogue, et il est employé en homéopathie pour soigner les séquelles de la syphilis.
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2 ème recette La phytothérapie :
Plantes spécifiques des affections vénériennes BLENNORRAGIE ET LEUCORRHEE: Baies de genévrier (Junipe-rus). La cure de baies se fait de la façon suivante : on commence par 4 le premier jour, puis 5 le deuxième, 6 le troi-sième, etc., jusqu'à 15 baies; puis on redescend jusqu'à une seule baie le vingt-sixième jour... et l'on recommence. Ce n'est pas une prescription fantaisiste, mais, au contraire, éprouvée par l'expérience (méthode Kneipp), pour éviter l'irritation des canaux urinaires. Toute la plante peut être utilisée (feuilles, bois, etc.), et de toutes les façons possibles (infusions, macérations, etc.).
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3 ème recette SYPHILIS ET BLENNORRAGIE : les salsepareilles. Sont utili-sées : la salsepareille du Mexique (Salsapareilla) et sa cou-sine, la salsepareille d'Europe (Smilax aspera). Une autre plante de la famille, la squine (Smilax china), fut employée autrefois, mais on utilise surtout les deux premières qui ont les mêmes propriétés.
Traitement de quarante jours. Prendre tous les matins, à jeun, une tasse de décoction: 60 g de racine pour 1 litre d'eau. Laisser bouillir assez longtemps pour que la décoction réduise Jusqu'à un demi-litre. En même temps, prendre tous les matins une cuillerée de poudre de racine, avec du miel.
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4 ème recette Encore utilisés contre la syphilis : les extraits de gaïac (Guaïacum officinale). Bois, écorce, et résine sont connus depuis la Renaissance pour guérir la vérole. L'homéopathie donne actuellement " Gaiacum " dans ce cas. Le gaïac est un très grand arbre, qui pousse aux Antilles. Ce produit est vendu sur ordonnance.
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5 ème recette Enfin le brou de noix (écorce verte extérieure du fruit) a des propriétés anti-blennorragiques : Préparez une décoction : 2 litres d'eau, deux poignées d'écorces vertes. Laissez bouillir 1/4 d'heure, et utiliser en usage externe, pour laver la zone malade (ou poser dessus des compresses imbibées de cette décoction).
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